lundi 18 juillet 2011

La disparition de seulement une espèce de prédateurs a des effets majeurs sur l'environnement

Absence of Top Predators Brings Unanticipated Changes: Scientific American Podcast - La disparition ou la diminution d'une seule espèce de prédateurs du bout de la chaîne alimentaire d'un écosystème a un effet immense sur lui. Des lacs deviennent infestés d'algues à cause de la disparition d'une espèce de poisson, les forêts tropicales s'amincissent en l'absence de jaguars, les récifs de coraux s'amenuisent en l'absence de requins. Plus près de nous, les chevreuils se multiplient et causent des ravages à certains endroits suite à la disparition du loup. Des plantes réapparaissent et la forêt se transforme dans le parc de Yellowstone suite à la réintroduction du loup. On a tendance à oublier qu'une seule espèce qui disparait peut occasionner de grands bouleversements.

dimanche 10 juillet 2011

On a triplé l'espérance de vie de vers de terre par transformation génétique de leurs mitochondries

Une étonnante cure de jouvence / CNRS le journal - (NB: le lien fait d'abord voir la page couverture avant d'ouvrir automatiquement la page 12 où se situe l'article dans le bas à gauche) - L'extrapolation possible à l'humain mentionnée à la fin de l'article par une chercheuse à qui on a demandé de commenter me semble cependant très hasardeuse étant donné la biologie globale très différente entre les vers de terre et l'humain. On n'a qu'à penser que chaque segment d'un ver permet de regénérer un ver de terre au complet. Il n'est pas très convaincant de la part de la chercheuse citée de dire que les mécanismes cellulaires de vieillissement sont semblables chez les humains alors que justement dans l'article on nous dit que les mécanismes d'augmentation de la longévité sont mal connus!

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